Cette mesure trouverait ses origines chez Majestic, un outil formidable qui analyse les noms de domaines et ses liens hypertextes.
On parle de métriques, dans le domaine du SEO technique: les diplômés d’écoles de commerces, les webmarketers et non initiés au SEO brut font partie de l’essentiel du public.
Les reférenceurs expérimentes utilisent ce genre d’outil avec beaucoup plus de recul, et considèrent que beaucoup de résultats demeurent indicatif.
Il est très difficile d’avoir un TF élevé si l’on n’est pas parrainé par un site internet dont le nom bénéficie un gros trust flow, tout un business s’est construit là dessus, car le but est de générer des gains, avec des ventes, notamment d’espaces publicitaires, les prix sont élevés, difficile selon nous de ne jurer que par ce dernier car il est possible d’exister sans se soucier du TF.
Seul Google décide, et il est conscient de l’artificialité de certaines configurations offsite, mais comme de grosses sommes sont en jeu, la tolérance est de mise si l’objectif pertinence est atteint.
Mais cela va changer: beaucoup de journaux mainstream n’ont cessé de revendiquer plus de subsides, parce qu’on les lit, et on les lit parce que Google nous les montre, parce qu’historiquement ils font référence, donc quel paradoxe!
Vu que les audiences sont maintenant calculables avec plus de précision, et en 360°, sur de multiples canaux, les représentations web des mainstream démontrent qu’elles n’attirent en fait pas plus d’audience que d’autres sites, qui, eux, émergent et captent très vite l’essentiel des trafics entrants pour une actu ou info donnée.
Au final, la presse mainstream est tombée dans son propre piège:
avec une audience non plus estimée d’un point de vue historique (presse papier), mais réel (Analytics) elle n’est plus en top position des SERP, et on ne la lit pas!
Oui la presse, les universités, les sites institutionnels ont une forte autorité pour les algorithmes des moteurs de recherche.
Donc que penser du TF, ou du citation flow? Faites ce que vous pouvez, vous verrez bien, mais ne tombez pas dans le piège du netlinkng, bien tentant quand on voit que cela fonctionne très bien pour ceux qui l’utilisent en tâche de fond. Aujourd’hui, en 2022, il est temps de conserver le mindset attendu par les dev de Google, et laisser les algorithmes se charger des bombers. Ils sont connus depuis longtemps, tout comme ceux qui pratiquent la vente secrète de liens sortants, backlinks, seulement Google étudie, c’est son ADN, il a besoin de comprendre pour estimer une valeur, pas pour pénaliser sans comprendre.